
lundi 23 avril 2007
dimanche 15 avril 2007
Bigger than the biggest - Eiffel
En attendant des clichés Karting et América, qui ne peuvent plus tarder, noms des Dieux, Bigger than the Biggest issu de Tandoori le dernier album d'Eiffel...
On vous en dira plus
Ça et rien de moins
On vous crèvera les yeux entre ciel et terre brûlée
Des voix s’élèvent
Des voix célestes
Qui épellent le monde à grands heurts de Time is Money
Ramène ta poire
Fra Angelico
Et viens tout embellir d’un subtil revers de pinceau
Sur les chairs désolées
Des amours déchus
Sur le vieil or des jours que la nuit dévore tout cru
Il nous en reste des guerres
Il nous en reste des carrières
Des magouilles à faire, des produits, des âmes à posséder
Il nous en reste de la merde
A refourguer
Par des médias crevards juchés sur des chaos d’immondices
Bigger than the biggest
Pigs pigs pigs
Bigger than the biggest
Et toi l’ami
Que deviens-tu ?
Toi qui jurais, crachais la conscience absolue
T’as troqué ton credo ?
Tu nous chies ton drapeau
Sur la Promenade des Anglais
Du civil
Au militaire
Sur les deux visages d’un même monstre nucléaire
Je cherche en toi un désert
Je cherche en toi l’absence
Quelque chose qui puisse enfin me rappeler à ma démence
Tu cherches l’amour
Tu en es avide
En continu tu tournes autour comme attiré par le vide
Du temps pour apprendre
Trop de temps pour s’atteindre
On n’pourra pas se fendre de ne jamais rien feindre
Du temps pour reprendre
Le temps de se rejoindre
On n’aura jamais le cran de tout avoir à craindre
Bigger than the biggest
Pigs pigs pigs
Bigger than the biggest
On portera les croix
De la pensée unique
Absorbés par l’éponge du créneau lobbycratique
Pour voir la vie en rose
Du haut des villes en bleu
Se faire tailler des bavures, sécuritaires, parbleu
Non, toi pas fâché
Juste fasciste
Fou du roi sur un grand échiquier de troufions Quo vadistes
Il est temps de réagir enfin
Contre ce qui nous choque
Nous envaseline et nous courbe si souverainement
Les quintes sardoniques
Des bâtisseurs d’empires
Ou les veules charabias des pontifes du moment
Commis d’office
Au commerce inéquitable
Tant des nombres incalculables de dés sont pipés
Dites n’importe quoi
Mais dites le bien
Bradons Dieux à plus offrant sur petite planète affamée
Bigger than the biggest
Pigs Pigs Pigs
Bigger than the biggest
Etat d’urgence à portée de clic
En haut débit, Harry
Sondons l’ampleur de l’insurrection par la croupe
Fusion/acquisition
Fusion/inquisition
Bom ba Dom! for the “The great american slave troupe”
Mais peut-être a-t-on les yeux perdus dans un vieux radiateur de salle de classe ?
Qu’un soleil barbare, darde ses rayons et pianote l’impossible musique du silence.
On a les yeux trop écarquillés pour être vivants. Pour être vivants.
Tombera ?
Tombera pas ?
Frôlons la folie, Ô vieux monde bancal
Nous sommes d’une espèce
Sonnante et trébuchante
Petite démence de nuit, rictus sénile du grand capital
C’en est fini
La biodiversité
Employons nous à scier la branche sur laquelle nous sommes posés
Tombera ?
Tombera pas ?
Des frelons sur la nuque et des sens à rebrousse poil
Nous sommes d’une espèce
Sonnante et trébuchante
Du passé à revivre et du présent en spirale
Employons nous
A trancher
Les gorges de nos propres libertés
Au plus rien d’humain
Au plus rien d’humain pour l’humanité
Au plus rien d’humain
Au plus rien d’humain pour l’humanité
On vous en dira plus
Ça et rien de moins
On vous crèvera les yeux entre ciel et terre brûlée
Des voix s’élèvent
Des voix célestes
Qui épellent le monde à grands heurts de Time is Money
Ramène ta poire
Fra Angelico
Et viens tout embellir d’un subtil revers de pinceau
Sur les chairs désolées
Des amours déchus
Sur le vieil or des jours que la nuit dévore tout cru
Il nous en reste des guerres
Il nous en reste des carrières
Des magouilles à faire, des produits, des âmes à posséder
Il nous en reste de la merde
A refourguer
Par des médias crevards juchés sur des chaos d’immondices
Bigger than the biggest
Pigs pigs pigs
Bigger than the biggest
Et toi l’ami
Que deviens-tu ?
Toi qui jurais, crachais la conscience absolue
T’as troqué ton credo ?
Tu nous chies ton drapeau
Sur la Promenade des Anglais
Du civil
Au militaire
Sur les deux visages d’un même monstre nucléaire
Je cherche en toi un désert
Je cherche en toi l’absence
Quelque chose qui puisse enfin me rappeler à ma démence
Tu cherches l’amour
Tu en es avide
En continu tu tournes autour comme attiré par le vide
Du temps pour apprendre
Trop de temps pour s’atteindre
On n’pourra pas se fendre de ne jamais rien feindre
Du temps pour reprendre
Le temps de se rejoindre
On n’aura jamais le cran de tout avoir à craindre
Bigger than the biggest
Pigs pigs pigs
Bigger than the biggest
On portera les croix
De la pensée unique
Absorbés par l’éponge du créneau lobbycratique
Pour voir la vie en rose
Du haut des villes en bleu
Se faire tailler des bavures, sécuritaires, parbleu
Non, toi pas fâché
Juste fasciste
Fou du roi sur un grand échiquier de troufions Quo vadistes
Il est temps de réagir enfin
Contre ce qui nous choque
Nous envaseline et nous courbe si souverainement
Les quintes sardoniques
Des bâtisseurs d’empires
Ou les veules charabias des pontifes du moment
Commis d’office
Au commerce inéquitable
Tant des nombres incalculables de dés sont pipés
Dites n’importe quoi
Mais dites le bien
Bradons Dieux à plus offrant sur petite planète affamée
Bigger than the biggest
Pigs Pigs Pigs
Bigger than the biggest
Etat d’urgence à portée de clic
En haut débit, Harry
Sondons l’ampleur de l’insurrection par la croupe
Fusion/acquisition
Fusion/inquisition
Bom ba Dom! for the “The great american slave troupe”
Mais peut-être a-t-on les yeux perdus dans un vieux radiateur de salle de classe ?
Qu’un soleil barbare, darde ses rayons et pianote l’impossible musique du silence.
On a les yeux trop écarquillés pour être vivants. Pour être vivants.
Tombera ?
Tombera pas ?
Frôlons la folie, Ô vieux monde bancal
Nous sommes d’une espèce
Sonnante et trébuchante
Petite démence de nuit, rictus sénile du grand capital
C’en est fini
La biodiversité
Employons nous à scier la branche sur laquelle nous sommes posés
Tombera ?
Tombera pas ?
Des frelons sur la nuque et des sens à rebrousse poil
Nous sommes d’une espèce
Sonnante et trébuchante
Du passé à revivre et du présent en spirale
Employons nous
A trancher
Les gorges de nos propres libertés
Au plus rien d’humain
Au plus rien d’humain pour l’humanité
Au plus rien d’humain
Au plus rien d’humain pour l’humanité
Betty, Lavilliers.
Tu n'as pas sommeil
Tu fumes et tu veilles
T'es toute écorchée
T'es comme un chat triste
Perdu sur la liste
Des objets trouvés
La nuit carcérale
Tombant sur les dalles
Et ce lit glacé
Aller et venir
Soleil et sourire
Sont d'l'autre coté
Ces murs, ces grillages
Ces portes et ces cages
Ces couloirs, ces clés
Cette solitude
Si dure et si rude
Qu'on peut la toucher
Ce rayon de lune
Sur le sol allume
Visage oublié
De celui que t'aimes
Qui tire sur sa chaîne
Comme un loup blessé
Betty faut pas craquer
Betty faut pas plonger
Je sais, iils t'on couchée là
Et puis ils ont fermé leurs barreaux d'acier
Betty faut pas pleurer
Betty faut pas trembler
Je sais, tu vas rester là
T'aimerais plus t'réveiller, plus jamais rêver
Je te dis je t'aime
Dans ce court poème
Dans ce long baiser
Tu es ma frangine
Juste une féminine
Que j'avais rimée
Je te donne ma force
Mes mots et mes notes
Pour te réchauffer
Je haie la morale
Les prisons centrales
Les maisons d'arrêt
Je n'ai pas sommeil
Je fume et je veille
Et j'ai composé
Une chanson d'amour
Une chanson secours
Pour l'autre côté
Pour ceux que l'on jette
Dans les oubliettes
Dans l'obscurité
Pendant qu'les gens dorment
Au fond du conforme
Sans se réveiller
Betty faut pas craquer
Betty faut pas plonger
Je sais, ils t'ont couchée là
Et puis ils ont fermé leurs barreaux d'acier
Betty faut pas pleurer
Betty faut pas trembler
Tu sais, on s'retrouvera, là
Ailleurs, en plein soleil ...
Tu fumes et tu veilles
T'es toute écorchée
T'es comme un chat triste
Perdu sur la liste
Des objets trouvés
La nuit carcérale
Tombant sur les dalles
Et ce lit glacé
Aller et venir
Soleil et sourire
Sont d'l'autre coté
Ces murs, ces grillages
Ces portes et ces cages
Ces couloirs, ces clés
Cette solitude
Si dure et si rude
Qu'on peut la toucher
Ce rayon de lune
Sur le sol allume
Visage oublié
De celui que t'aimes
Qui tire sur sa chaîne
Comme un loup blessé
Betty faut pas craquer
Betty faut pas plonger
Je sais, iils t'on couchée là
Et puis ils ont fermé leurs barreaux d'acier
Betty faut pas pleurer
Betty faut pas trembler
Je sais, tu vas rester là
T'aimerais plus t'réveiller, plus jamais rêver
Je te dis je t'aime
Dans ce court poème
Dans ce long baiser
Tu es ma frangine
Juste une féminine
Que j'avais rimée
Je te donne ma force
Mes mots et mes notes
Pour te réchauffer
Je haie la morale
Les prisons centrales
Les maisons d'arrêt
Je n'ai pas sommeil
Je fume et je veille
Et j'ai composé
Une chanson d'amour
Une chanson secours
Pour l'autre côté
Pour ceux que l'on jette
Dans les oubliettes
Dans l'obscurité
Pendant qu'les gens dorment
Au fond du conforme
Sans se réveiller
Betty faut pas craquer
Betty faut pas plonger
Je sais, ils t'ont couchée là
Et puis ils ont fermé leurs barreaux d'acier
Betty faut pas pleurer
Betty faut pas trembler
Tu sais, on s'retrouvera, là
Ailleurs, en plein soleil ...

samedi 14 avril 2007
C'est arrivé près du téléphone

Tête en l'air ? Certainement. D'une pierre, deux coups : café bouillu, café foutu, et la casserole avec ! Tout ça pour un coup de fil : je hais le téléphone ! Please, please, lorsque tu m'appelles, rappelle moi d'éteindre le gaz ! ;)
"Merci France Télécom,
d'avoir pu permettre à nos hommes,
D'ajouter aux bruits de la ville et des klaxons,
La douce sonnerie du téléphone"
lundi 9 avril 2007
Arénophile
samedi 7 avril 2007
Soleil
Petites semelles devant mes pas
D'un pas léger yes on s'en va
Manger un bout, parler de tout
On s'arrête à l'Ummagumma
Un chorizo, des escargots
Croquer des crevettes à la louch'
Pour moi ça s'ra ta jolie bouch'
Que je prendrai comme apéro
L'après-midi, tour en bateau
Sur un Ferry qui n'a plus d'âge
On s'échouera près du Prado
A t'faire la mouett' sur la plage
Oui faire la mouett' sur la plage
(crôôaa crôôaa)
D'un pas léger yes on s'en va
Manger un bout, parler de tout
On s'arrête à l'Ummagumma
Un chorizo, des escargots
Croquer des crevettes à la louch'
Pour moi ça s'ra ta jolie bouch'
Que je prendrai comme apéro
L'après-midi, tour en bateau
Sur un Ferry qui n'a plus d'âge
On s'échouera près du Prado
A t'faire la mouett' sur la plage
Oui faire la mouett' sur la plage
(crôôaa crôôaa)

vendredi 6 avril 2007
Ulysse vs Pénéloppe
Allez ma Jane
Allez ma Jane
Vois ton Serge
Ecartelé
Comme Jacques cy-
Nique à souhait
Pas réaliste
Ni de black list
Idéaliste
Qui goûte
Le suc de tes joutes
Faut qu'tu t'impliques
Et qu'tu t'appliques
Tu sais
Allez ma Jane
Allez ma Jane
Suis ton Hidalgo
Un brin bourreau
Viens boire à ma
Santé craquelée de ces
Coups de marteau
Qu'tu m'donnes pour
Tester
Ma
Solidité
De velours,
La
Fragilité
Des retours
Allez ma Jane
Allez ma Jane
Si t'es dingue on l'est
Tous au carrefour
De ces jolis tours
De passe-passe fieffés
M'appelle pas Ulysse
On s'remake d'une his-
Toire bancale en beauté
On est pas là pour se..
Tu sais tu sais
Pleurer de mon mieux
Des sens Pénéloppés
Qui t'imaginent
Allez ma Jane!
Allez ma Jane
Vois ton Serge
Ecartelé
Comme Jacques cy-
Nique à souhait
Pas réaliste
Ni de black list
Idéaliste
Qui goûte
Le suc de tes joutes
Faut qu'tu t'impliques
Et qu'tu t'appliques
Tu sais
Allez ma Jane
Allez ma Jane
Suis ton Hidalgo
Un brin bourreau
Viens boire à ma
Santé craquelée de ces
Coups de marteau
Qu'tu m'donnes pour
Tester
Ma
Solidité
De velours,
La
Fragilité
Des retours
Allez ma Jane
Allez ma Jane
Si t'es dingue on l'est
Tous au carrefour
De ces jolis tours
De passe-passe fieffés
M'appelle pas Ulysse
On s'remake d'une his-
Toire bancale en beauté
On est pas là pour se..
Tu sais tu sais
Pleurer de mon mieux
Des sens Pénéloppés
Qui t'imaginent
Allez ma Jane!
mercredi 4 avril 2007
Marinette (J'avais l'air d'un con..)

Quand j'ai couru chanter ma p'tit' chanson pour Marinette
La belle, la traîtresse était allée à l'opéra
Avec ma p'tit' chanson, j'avais l'air d'un con, ma mère
Avec ma p'tit' chanson, j'avais l'air d'un con
Quand j'ai couru porter mon pot d'moutarde à Marinette
La belle, la traîtresse avait déjà fini d'dîner
Avec mon petit pot, j'avais l'air d'un con, ma mère
Avec mon petit pot, j'avais l'air d'un con
Quand j'offris pour étrenne un'bicyclette à Marinette
La belle, la traîtresse avait acheté une auto
Avec mon p'tit vélo, j'avais l'air d'un con, ma mère
Avec mon p'tit vélo, j'avais l'air d'un con
Quand j'ai couru tout chose au rendez-vous de Marinette
La bell' disait: "J't'adore" à un sal' typ' qui l'embrassait
Avec mon bouquet d'fleurs, j'avais l'air d'un con, ma mère
Avec mon bouquet d'fleurs, j'avais l'air d'un con
Quand j'ai couru brûler la p'tit' cervelle à Marinette
La belle était déjà morte d'un rhume mal placé
Avec mon revolver, j'avais l'air d'un con, ma mère
Avec mon revolver, j'avais l'air d'un con
Quand j'ai couru lugubre à l'enterr'ment de Marinette
La belle, la traîtresse était déjà ressuscitée
Avec ma p'tit' couronn', j'avais l'air d'un con, ma mère
Avec ma p'tit' couronn', j'avais l'air d'un con
Sheller
mardi 3 avril 2007
Mardi 3
Lever tôt ce matin, quand la lune jaune illuminait encore la petite cour. A la lueur de notre satellite, Minette a mis bas dans la nuit. De nouveaux occupants sur notre petite planète.. Café fumant, douche, FTP, une belle journée s'annonce. J'ai quitté les lieux avant le réveil général, pour mieux coller à mon intimité. Jusqu'ici, tout va bien...
lundi 2 avril 2007
Blessé

C'est mon poil rèche, plaqué de sang séché, coagulé, noir, que je lèche fébrilement. Mes babines retroussées laissent alors entrevoir des dents brisées, ensanglantées à force de tirer sur la ferraille qui m'emprisonne. Mon regard vitreux plonge sur une plaie béante d'où s'échappent le rouge de mes chairs, et des exhalaisons de mort. Je compte les heures, chaque minute, et ces moments où vous me caressiez l'échine. Dans votre voix, c'est votre harpon qui transperce ce coeur jadis vibrillonant, et qui me taraude l'esprit de son acier trempé, détrempé des ficelles de votre séduction. Les lourdes chaînes imposées ne m'autorisent que peu de marge.. et pourtant... pourtant, vous devriez le savoir, il vaut mieux ne pas trop approcher un animal blessé. La rage au ventre.. HAN! je cracherai votre poison (d'avril).
dimanche 1 avril 2007
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